Bande annonce du roman Les Mauves, de Benoit Rivillon
À Fleur de larmes, d’Anne-Laurence Fitère
Extrait d’un article de Rose Magazine : « Anne-Laurence Fitère était journaliste. Touchée par une récidive de son cancer, elle a tenu, de septembre 2008 à février 2009, un journal de bord de sa vie quotidienne. Et c’est bien la vie qui bruisse dans ce superbe ouvrage publié aujourd’hui, recueil de textes de son blog : l’amour d’abord, l’amour sous toutes ses formes. » […] « Tout est dit avec une économie d’émotions, la justesse ne cédant jamais à la plainte. »
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Les mots de Matthieu Ricard, Moine bouddhiste : « Chère Madame, Je vous remercie vivement de l’émouvant livre de votre fille. Très cordialement. »
Les contes de la petite fille moche, de Julien Daillère
Extrait d’un article de l’Express sur le spectacle : « Entre candeur et férocité, une suite de courtes réflexions où des enfants, disant leurs vérités, leurs douleurs, leurs questionnements, dévoilent le monde adulte dans son impuissance ou ses lâchetés. » Lire l’article complet
Extrait d’un entretien dans la rubrique littéraire TaLuKoi ?! du Petit Niçois par Yves Rosati : « YR : C’est l’histoire d’un mot, un seul, au milieu de conversations d’enfant, qui résonne de plus en plus fort dans la tête : gros, noir… Ce qui est l’évidence de notre corps devient une différence encombrante par les mots des autres. […] JD : Je voulais donner la parole à des enfants qui se débrouillent comme ils peuvent avec l’étiquette qu’on leur a collé sur la figure et qui constitue, aussi, bon gré mal gré, leur porte d’entrée dans le monde, leur identité. Se réapproprier cette étiquette par la parole […] » Lire l’entretien complet
Les Mauves, de Benoît Rivillon
Du Jardin d’Éden et autres plaisirs, de Christine Fabre
Extrait d’un entretien dans la rubrique littéraire TaLuKoi ?! du Petit Niçois, par Yves Rosati : « YR : Soyons clairs : ça parle de Q ! mais le Q n’est prétexte qu’à ne parler d’amour. Mais cet Amour n’a de limites que les mots qui l’expriment. L’Amour n’est compris qu’à travers le prisme de son intime […]
CF : Ils confrontent les conceptions du monde, de l’autre, et de l’amour. Ils sont réels, fictifs et caricaturaux parfois, parce qu’il y a autant de façons d’aimer que d’êtres vivants sur cette terre. La vie est tellement fascinante ! »
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Autrefois Outrebois, de Benoît Rivillon
